Présentation
Sujets de discussion du moment
Bonjour,
Je viens d'avoir 30 ans et le premier week end du confinement j'ai eu la COVID. 1 mois plus tard j'ai commencé à très mal dormir la nuit. Au début je me disais que cela allait passer mais cela n'a pas été le cas. Je n'arrivais ni à dormir la nuit ni à faire des siestes la journée. Avant cet épisode j'étais une très bonne dormeuse avec une bonne hygiène de sommeil. J'avais l'habitude de me coucher tôt et de me lever tôt. Depuis avril je vis un cauchemar. Ces insomnies ont clairement altéré ma qualité de vie et mon moral. Je n'ai plus l'énergie ou l'envie de faire tout ce que je faisais avant et je me demande si je vais m'en sortir. Depuis maintenant 5 mois je suis sous anxiolytiques le soir. J'arrive à faire des nuits correctes mais l'angoisse ne part pas et j'ai perdu le plaisir d'aller me coucher. J'ai l'impression que ma vie a radicalement changé et que je peux faire une croix sur la personne que j'étais avant cet épisode. J'ai perdu confiance en moi et j'ai régulièrement des crises d'angoisse en pensant à tout ça. Il y a 2 semaines j'ai pris rendez-vous avec une psychiatre spécialisée dans les troubles du sommeil. Elle a mis en place un agenda du sommeil où je dois seulement suivre 2 contraintes: pas de sieste et réveil à 7h00. Selon moi je dois travailler sur l'aspect cognitif. J'espère retrouver rapidement le plaisir de me coucher. Je cherche donc des témoignages positifs de personnes qui ont réussi à traverser cette épreuve que je trouve personnellement traumatisante !
Bonjour Morgane, et bonjour à tous ! Vos difficultés de sommeil sont dues à un facteur déclencheur...
Bonjour Morgane, et bonjour à tous !
Vos difficultés de sommeil sont dues à un facteur déclencheur, sur lequel on ne peut malheureusement rien faire. En revanche, il est tout à fait possible de retravailler sur les facteurs de maintien : ce qui a été mis en place consciemment ou non pour pallier la difficulté mais qui n'est pas toujours adapté.
Vous avez raison, et les personnes n'ayant jamais eu d'insomnies réelles peuvent difficilement comprendre ou imaginer la souffrance que l'on ressent seul la nuit à ruminer, s'inquiéter, attendre que le sommeil se manifeste, en vain. Oui, c'est un réel traumatisme, car manquer de sommeil impacte la vie quotidienne, notre moral, notre énergie, notre personnalité et bien qu'on essaye fort (et que l'on s'épuise encore plus) de faire comme si de rien n'était et donner le change ... On a l'impression parfois que notre monde s'écroule sous nos pieds.
La bonne nouvelle ... C'est que ce n'est pas une fatalité, bien au contraire et parfois certains évènements marquants et difficiles peuvent être un tournant dans notre vie : comme un second anniversaire, le jour où l'on a compris que l'on devait observer des changements pour retrouver le calme et la sérénité plutôt que de foncer tête baissée. Oui parfois, (et même si c'est difficile de le voir ainsi pour le moment) ce type d'évènement et de difficultés peuvent vous offrir l'opportunité de prendre soin de vous, de vous recentrer sur le positif, ce qui est important et ce qui ne l'est en réalité pas et choisir où l'on investit son énergie.
Actuellement vous avez perdu confiance en vous, en votre capacité à dormir paisiblement. Mais c'est essentiel de travailler là-dessus ... Ce dont vous avez été capable une fois ... vous en êtes capable 1000 fois !
L'anticipation et l'anxiété de performance font rarement bon ménage avec le sommeil : vous vous maintenez (contre votre volonté) dans un cercle vicieux et pourtant vous souhaitez en sortir.
Le sommeil, plus on cherche à le contrôler et plus il nous fuit. Il ne s'agit pas de penser "Si je dors mieux, je pourrais lâcher-prise" mais plutôt "Pourquoi ne pas apprendre à lâcher prise, apprendre à mieux gérer mon stress au quotidien, à relativiser, positiver et ainsi mieux dormir ?"
Sachez que le sommeil c'est aussi une question de perception : plus vous le pensez mauvais et plus il sera mauvais. Plus vous craindrez de ne pas dormir et moins vous dormirez... Alors que si l'on fait le choix de se dire le matin au réveil " Ok, ce n'était pas extraordinaire, mais j'ai la journée pour profiter, je peux si je me sens fatigué faire des activités calmes pour recharger les batteries, et je choisis de voir le verre bien rempli, alors je peux passer une bonne journée au mieux de ma forme, je fais comme je peux et je ne cherche pas à anticiper des peut-être, potentielles mauvaises nuits".
Je vous invite à mettre en place dans vos journées des activités calmes : méditation, relaxation, cohérence cardiaque, lecture, balade, étirements doux, afin justement de vous apaiser et recharger les batteries pour ne pas vous sentir complètement épuisés et risquez de craquer, vous sentir perdus, submergés, etc.
Par ailleurs, mettre en place un SAS de transition entre la journée ON et la soirée OFF est essentiel : on ne peut demander au cerveau de quitter l'hyperéveil (voir l'hypervigilance) d'un coup simplement parce que l'on a enfilé son pyjama. Non le cerveau et le corps ont besoin de temps pour s'y préparer ... Une bonne douche, une lecture, allumer une bougie, se mettre soi-même et son environnement dans de bonnes conditions pour mieux appréhender le moment du coucher.
Une routine sommeil est aussi indispensable ... Cela permet d'envoyer au cerveau des signaux : "Quand je me brosse les dents, que je tamise les lumières, que je coupe les écrans, que je fais une séance de cohérence cardiaque ... Ah ... il peut commencer à se détendre. "
Ce ne sont pas forcément de gros changements qui sont la clé mais parfois, de petites habitudes qui paraissent futiles, peuvent faire toute la différence ...
Ne perdez pas espoir, notre équipe reste à votre écoute en cliquant en haut à gauche sur "mon psychologue" si vous le souhaitez, pour vous accompagner tout au long de votre expérience Thérasomnia :-)
Nous savons que la période est difficile, mais il vous faut à tous garder courage et réapprendre à cultiver le positif, la bienveillance, la gratitude afin d'apaiser l'esprit et in fine le corps également.
Je vous souhaite une belle journée et une très bonne année 2021 !
Audrey, psychologue
Bonjour à tous,
je suis chef de projet ecommerce (je travaille beaucoup avec les écrans). J'ai 44 ans et je vie sur Nantes depuis peu.
Je travaillais beaucoup (trop) depuis 7 ans. Je dormais parfois peu et quand anxieux je faisais quelques insomnies (ça n'arrivait pas trop souvent). Je suis assez stressé / anxieux de nature (ça dépend des moments).
J'ai très mal supporté le confinement Covid, j'ai tout d'abord développé une sorte d'hypocondrie (incertitudes avenir, covid etc), j'ai ensuite eu une forte dose d'anxiété puis j'ai fait 1 malaise vagal. Je pense avoir fait un burn-out.
Peu de temps après je commençais à faire des insomnies graves puis quelques semaines après je commençais à avoir de la tachycardie le matin et des extrasystoles. Une depression (assez sévère) a suivi ensuite.
On m'a mis sous beta bloquant (erreur car tachycardie lié à l'anxiété), anxiolitique (je dormais mieux mais erreur car dépendance) et anti depresseur (là c'est OK mais j'aurais pu rester sur un anti depresseur naturel : rhodiole / bacopa ou capsules d'HE de lavande).
Aujourd'hui je ne suis plus sous beta bloquant (sevrage réussi) et je réduis progressivement l'anxiolitique (lysanxia à 5mg tous les jours la nuit depuis 4 mois). Je réduirais ensuite l'anti depresseur (seroplex), qui m'a aidé à retrouver l'appetit ! Je suis sur Therasomnia car je sais que la TCC peut m'aider pour mes insomnies. Je dors en moyenne 2 à 4h par nuit en ce moment.
Mes modestes conseils :
Ne JAMAIS prendre de beta bloquants si tachycardie ou extrasystoles provoqués par de l'anxiété et si le coeur est saint !
Ne pas prendre d'anxiolitique ou si il faut vraiment en prendre un car urgence : prendre du lyzanxia à faible dose et pas tout le temps. C'est l'anxiolitique le moins aggressif des benzos.
Privilégier des immunomodulateurs comme de la rhodiole ou bacopa.
Lumiere bleue le jour et lumiere rouge/orangé la nuit. La lumiere rouge orangée stimule la production de melatonine.
La balade dans la nature fait du bien.
Un peu de cardio (velo) aussi.
Je dors de minuit à 4h en ce moment .. ou 23h30 5h selon les jours ... pas encore réussi à sortir du...
Je dors de minuit à 4h en ce moment .. ou 23h30 5h selon les jours ... pas encore réussi à sortir du lit, j'y reste car fatigué et bien au chaud même si je n'arrive plus à bien me rendormir, je somnole. Après, somnole t on vraiment pendant plusieurs heures ou dors t on 1h entre au moins, je ne sais pas. Je vais m'efforcer de sortir du lit une fois reveillé.
J'ai par contre de l'energie en journée, quelques baillements mais je suis pour l'instant plutôt en forme et mon sevrage au lysanxia se passe jusque là plutôt bien ... (il faut dire que j'y vais mollo , une demi goutte tous les 8 jours)
Je pense que si on suit à la lettre la TCC, tout devrait revenir en ordre. (Avec un travail de fond psy, thérapie etc ... pour voir si le pbm ne viendrait pas d'une peur).
Bonjour je suis insomniaque de longue longue date avec une accentuation ces dernières années a cause de la ménopause. La RTPL génère une telle angoisse que je mets environ deux heures a m’endormir avec un traitement. J’en suis a la deuxieme semaine de RTPL et je suis épuisée de dormir 3 heures
comment avez vous géré cette phase la? Au bout de cb de temps de ce programme arrive t on enfin a s’endormir sans angoisse et sans galérer? Merci de vos témoignages
Bonjour,
Je m'appelle Sébastien, j'ai 42 ans, je suis marié et père de 2 enfants.
Je souffre d'insomnies qui me pourrissent la vie suite à un burnout professionnel en janvier.
Je prends 20mg de mianserine et j'ai arrêté le Xanax en avril.
Sur le papier, il n'y a plus rien de stressant dans ma vie. Pourtant, je ne peux m'empêcher d'angoisser sur quelque chose. En ce moment, c'est la peur de ne pas dormir.
Je me rends bien compte que le centre de tout ça, c'est mon anxiété maladive. Pourtant, j'essaie de me raisonner, mais rien y fait, l'angoisse revient toujours au moment de dormir. Je me crispe, j'ai les muscles tendus, je tremble, j'ai mal au crâne et donc je ne dors pas (2h cette nuit). Au passage, je réveille mon épouse et ça me rend triste.
J'ai l'impression d'etre fou et incurable avec parfois l'idée d'en finir. Ça libérerait ma famille et elle passerait à autre chose.
Mais bon, je suis encore là.
Je tente de me détendre par de la respiration dans la journée, de lâcher prise mais au moment de me coucher : crise d'angoisse.
Comment arrêter ce stress, cette angoisse ? Comment me détendre ?
Je suis perdu, mais j'ai encore espoir.
Merci pour votre aide et vos conseils.
Bonjour Sebastien! J'espère que ça va mieux : si c'est le cas, accroche-toi à tes nouvelles...
Bonjour Sebastien!
J'espère que ça va mieux : si c'est le cas, accroche-toi à tes nouvelles habitudes.
Si ce n'est pas encore le cas, il faut y croire, ça va venir.
A la base, on comprend chez toi un problème en rapport avec le travail.
Même s'il est résolu, on peut avoir besoin de temps pour retrouver son équilibre initial.
Bonne continuation.
Quant à moi, je redors après des années d'odieuses insomnies destructrices. Un rêve en vrai !
Bonjour à tous
je m'appelle Renata. J'ai 55 ans, Je souffre d'insomnie depuis toujours que je compense pas de grasses matinées en semaine et le we il m'arrive de dormir encore plus longtemps. Il me faut généralement 12h de sommeil ce qui gâche mes journées et j'ai du mal à me lever pour travailler. Ca devient compliqué. J'ai un bon sommeil seulement que je m'étouffe souvent en dormant. C'est mécanique je pense que j' avale ma langue car je me réveil en sursaut recherchant de l'air et le coeur qui palpite. Ensuite soit je me rendorme et ca recommence mais c'est c'est trop intense je ne me rendors pas. Y a t-il des personnes qui s'étouffe la nuit ?
merci de votre attention
Bonjour,
Je m'appelle Caroline. Mon objectif est de retrouver un rythme de vie et de sommeil régulier qui me permette d'être en forme et d'avoir une hygiène de vie.
Ca fait 18 mois que cela dure : ruminations, anxiété, coucher tard, lever tôt, pas de rythme régulier. Ca me pénalise dans mon hygiène de vie et dans mon travail.
J'ai besoin de me discipliner. Quelqu'un aimerait être mon binôme ?
A très vite !
Bonjour Caroline, moi c'est Anthony et je débute aussi. Tu peux trouver quelques informations sur...
Bonjour Caroline, moi c'est Anthony et je débute aussi. Tu peux trouver quelques informations sur moi dans l'espace présentation. Je n'ai pas encore de binôme. Bienvenue et courage.
Bonjour à toutes, et tous. Je m'appelle Anthony, j'ai 30 ans (aujourd'hui, je suis du 16 juin...), et je dois admettre que cette trentaine est compliquée à vivre.
Je suis englué depuis quelques semaines dans une insomnie psychophysiologique, assez spéciale (je n'ai pas encore lu un tel témoignage), lorsque je suis au lit, que je sens le sommeil arriver, je le guette et essaye, mécaniquement et involontairement, de comprendre son processus. Je détecte donc les pensées troubles et m'en extrais, c'est un vrai calvaire.
Évidemment, comme vous tous, le moral suit et est aussi saccadé que mon sommeil. Je suis papa et en couple, et j'ai des pensées très obsédantes et tristes, ayant l'impression de ne plus pouvoir être là pour eux, comme avant, lorsque je jouais avec mon petit et que tout allait bien. Une sorte de nostalgie, récente, envahissante.
Je ne vais pas m'étaler plus, l'essentiel est là, merci de m'avoir lu et au plaisir de lire vos réponses.
Bon courage à tous.
Bonjour, Ah mais que nous sommes nombreux dans ton cas. Je suis exactement comme toi.Et à faire le...
Bonjour,
Ah mais que nous sommes nombreux dans ton cas. Je suis exactement comme toi.Et à faire le guetteur, rien ne se passe. J'allais beaucoup mieux après 1 année de bataille et je dormais bien et il a fallu 2, 3 nuits de galère pour que les vieux démons réapparaissent.....Etant anti cachet, j'ai du m'y résoudre et quand je vois que ça va etre difficile, je prend un anxiolitique qui me détend et je m'edors. Bon programme. Moi je commence aussi.
Bonjour. Je m'appelle Laurent et subis des insomnies depuis 3 mois environ. L' origine est liée à des petits soucis de santé fin 2019 ainsi qu'un burn-out. Résultat dépression et donc insomnies qui ne vont pas en s améliorant, par contre la dépression évolue correctement grâce à mes antidépresseurs. Avec ce programme j espère m affranchir des 10mg de valium que je prends le soir pour dormir. Je ne prends aucun somnifère. J'ai commencé mon agenda ce matin et j'ai déjà le moral à 0. J'ai parfois l'impression que je ne vais pas m'en sortir. A bientôt.
Bonjour Laurent et Stéphanie, Cela fait un mois et demie que j'ai commencé le programme. Je me suis...
Bonjour Laurent et Stéphanie,
Cela fait un mois et demie que j'ai commencé le programme. Je me suis inscrite parce que je ne dormais quasiment plus, sachant que j'alternais une nuit blanche et une nuit de 3 heures max.
La période du temps de restriction du sommeil a été au début très dure, car il fallait d'une part respecter l'horaire du coucher et d'autre part se lever à l'heure fixée. Au bout de 4 semaines, l'horaire du coucher n'était plus un problème et je suis même arrivée à m'endormir à heure fixe. Le plus dur a été de respecter l'horaire du lever, mais en tout cas je n'avais plus de moment d'éveil dans la nuit.
Les exercices proposés: respiration en pleine conscience, méthode dite de Jacobson, sont également à suivre scrupuleusement car ils aident à lâcher prise et reprendre le contrôle de vous-mêmes.
Ne vous découragez pas, vous êtes sur le bon chemin!
Bonjour à tous,
Suite à une insomnie chronique depuis toujours, je viens de me lancer dans ce programme.
C'est un peu en désespoir de cause que je me suis inscrite ici, mais j'espère que cela va me redonner de l'espoir.
J'ai 34 ans, je vis à Paris et suis une insomniaque depuis ma naissance.
Cela constitue un énorme handicap dans ma vie de tous les jours et je suis accro aux somnifères depuis l'âge de 20 ans... je perds l'espoir de pouvoir les arrêter complètement un jour...
Les somnifères et autres médicaments dans le genre ont toujours été une béquille pour moi, ils m'ont permis de tenir le coup pendant de nombreuses années mais à présent, j'en ai marre de prendre ces médicaments toxiques...
J'étais allée au centre du sommeil à Paris faire des examens il y a quelques années, on m'a diagnostiqué un retard de phase et un syndrome des jambes sans repos accompagné de dépression, angoisses etc...
A cette époque, je n'avais pas le courage de suivre un protocole ayant d'autres problèmes persos à côté et je n'avais pas du tout un bon feeling avec le médecin de l'époque.
A côté de ces problèmes de sommeil, je souffre d'acouphènes depuis l'âge de 14ans, je suis hypersensible et hypervigilante aux bruits nocturnes, et j'ai un tempérament extrêmement nerveux, ce qui est un véritable cauchemar au quotidien.
Malgré tout cela, je me bats pour aller mieux, je suis une psychothérapie, j'essaie de trouver des moyens de me relaxer et suis actuellement dans une période dans laquelle je peux envisager de faire le programme.
Cependant, je suis très stressée par la restriction de sommeil que je vais devoir suivre à compter de demain, j'aime tellement dormir le matin pour rattraper mes difficultés d'endormissement...
Si vous avez réussi ce programme et décroché des somnifères, je suis preneuse de vos conseils et témoignages.
Si quelqu'un se trouve dans la même situation que moi et a besoin de soutien, je suis partante aussi, à plusieurs cela doit être plus facile à gérer...
A très bientôt et bon courage à tous!
Lauren
Bonjour LaureNjp, merci beaucoup pour ton message qui est réconfortant dans cette période difficile...
Bonjour LaureNjp, merci beaucoup pour ton message qui est réconfortant dans cette période difficile. C'est vraiment encourageant si ton amie a pu réduire les médicaments, j'espère, dans un 1er temps, pouvoir les réduire aussi. Après toutes ces années, un arrêt brutal et trop rapide serait impossible pour moi car, en plus de la dépendance physique, j'ai une forte dépendance psychologique.
Oui, tu as raison, énormément de paramètres nuisent à mon sommeil, j'ai commencé à en parler brièvement aux coachs, mais je vais voir avec eux s'ils ont d'autres conseils.
Ma première nuit avec la restriction du temps passé au lit a été terrible, je me suis mis tellement de pression que j'ai fait quasi nuit blanche. A la base, je devais me coucher à 2h15 pour me lever à 9h (6h45 en tout dans mon lit). D'après ce que j'ai pu voir sur le forum, 6h45 n'est pas une restriction trop forte, mais pour moi c'est tout de même très anxiogène. Ce soir, ça va être très dur de tenir jusqu'à 2h15 mais je suis prête à aller jusqu'au bout dans ce programme.
Et toi, tu as des problèmes de sommeil depuis longtemps? La restriction de sommeil s'est bien passée? J'espère que ton sommeil va mieux qu'au début du programme.
Merci beaucoup pour ton écoute et ton soutien en tout cas
A bientôt
Bonjour
J ai commencé le programme depuis le 5 janvier, à sais d'une insomnie qui a débuté en mai 2018 à la suite de problèmes de santé. J'ai des difficultés d'enfouissement et des réveils nocturnes. Avec la méthode, je dois passer que 5 heures 45 au lit et j'avoue que c'est très dur. Attendre minuit passé pour aller se coucher n est pas facile. Je ne sais pas combien de temps va durer cette partie du programme, et j'ai peur d'être très fatiguée. Comment avez-vous fait pour tenir ? Cordialement
Mimilyne
Bonjour Stephanie et bienvenue parmi nous ^^ De quel type d'insomnie souffres-tu ?