Mes premières semaines sur ThéraSomnia
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bonjour,
Je suis un insomniaque relativement "récent" (plusieurs mois), à cause d'un stress permanent lié au soutien que j'assume auprès de ma mère de 94 ans, toujours chez elle, et toujours plaintive à tous sujets jour après jour. Ma mère est chez elle et non en Ehpad seulement grâce à mon aide de chaque jour, et pour moi depuis 2 ans c'est une épreuve de tous les jours, car elle supporte très mal moralement et physiquement son vieillissement, et m'impacte fortement au quotidien par son moral en berne et ses plaintes. J'ai dû prendre des benzos pour faire face, puis je me suis sevré, puis j'ai replongé, et de nouveau j'essaye de me sevrer avec l'aide de Therasomnia à cause des problèmes de sommeil , et particulièrement ceux liés au sevrage de benzos. Récemment des nuits totalement blanches ou semi-blanches et leurs conséquences diurnes ont suffit pour m'effrayer assez pour provoquer mon inscription sur Therasomnia. depuis, je lis les messages d'abonnés ou d'anciens abonnés. Je vois sur de nombreux de messages que beaucoup supporte l'insomnie, parfois ou même souvent intense, depuis des années, et se retrouvent souvent heureux de pouvoir dormir maintenant heureux, de dormir 5 heures par nuit ! j'avoue que je n'arrive pas à comprendre comment on peut résister des années avec moins de 5 heures par nuit (apparemment 3 heures souvent) et accueillir un sommeil de seulement 5 heures avec soulagement. les normes moyennes médicales indiquent un peu partout que la durée d'une nuit optimale est située entre 7 et 8 heures. En ce qui me concerne j'ai été toute ma vie à environ 7 heures, et à 5 heures par nuit je m'estime horriblement insomniaque, j'ai l'impression que je "tire sur mon corps" et que l'usure commence à faire ses effets !(sleepyman). Tout n'est-il qu'une affaire de mental et d'adaptation ?
Bonjour, malheureusement on s'y habitue et cela devient "normal" ... Ça fait 10 ans que je fait des insomnies à l'endormissement, après avoir essayez des dizaines et des dizaines de choses (je suis même allez dans une clinique du sommeil) et j'ai débuté ce programme il y a peu.
Courage, rien est perdu !
Bonjour,
Dans ce cas, je suis obligée d'attendre la fin de ce qui aurait été un cycle de sommeil complet, soit 1h30. Et si au bout d'1h30, je ne me rendors pas, c'est 3h00. En général, là, ça cède. C'est long, et le lendemain, c'est une cata pour le travail. J'écoute des podcasts calmes sans pic sonore, et dont le sujet ne m'intéresse pas particulièrement. En gros, une version améliorée du comptage de moutons. C'est ce qui fonctionne le mieux pour moi.
Courage
Bonsoir à tous,
De très importantes difficultés d'endormissement et de réveils nocturnes depuis 50 années, dépressions en chaine, burn-out très sévère, des années de psychologie, sans compter des agendas de sommeil et le test de la privation de sommeil, envie de dormir permanente. Immense difficulté à poursuivre ce qui doit être, le manque de sommeil est tout simplement une torture chaque jour renouvelée.
La méthode m'a été chaudement recommandée, et depuis 15 jours que le démarrage est fait, je suis assez perplexe.
Pas d'alcool, pas de tabac, pas d'autres substances perturbantes, pas de somnifères, de l'activité physique chaque jour, et pas deux heures avant de dormir, pas d'apnée du sommeil, les rideaux toujours ouverts, depuis toujours, nuits solitaires pour éviter que quelqu'un dérange.
Relaxation et pleine conscience déjà testées et re-testées, sans résultat. Privation de sommeil, qu'est-ce que le burn-out sinon une grave privation de sommeil ? Et sinon, déjà fait avec préconisation médicale, avec pour seul résultat une envie récurrente atroce de sommeil, voire l'impossibilité totale de trouver le sommeil si je suis trop fatiguée.
Bref, si l'idée est de me faire refaire de la relaxation et de me priver de dormir parce que je ne dors pas, je suis très très très perplexe et dubitative.
Je suis assez impatiente de savoir si autre chose est imaginé, parce que là, ..... je suis perplexe. L'insomnie serait-elle aussi simple à résoudre que de ne pas dormir pour se donner envie de dormir ?
Bon courage à tous
Bonjour, je m'appelle Julie , 46 ans et je suis insomniaque depuis 2017. Je prends 1 somnifère et anxiolitique pour dormir depuis cette date. Outre mon insomnie chronique je souffre de douleurs neuropathiques assez importantes qui sont traitées et qui sont dûes à de multiples opérations à la colonne vertébrale. Je suis inscrite depuis 15 jours à Thérasomnia suite au conseil de mon médecin du sommeil. Par contre je n'arrive absolument pas à remplir l'agenda et faire les défis, ce qui me bloque ce n'est pas d'appliquer les conseils mais c'est de penser à aller tous les jours sur mon ordi pour remplir l'agenda et cliquer sur les défis faits ou non. J'ai l'impression d'avoir à faire des "devoirs" quotidiens , ce qui augmente mon anxiété. J'avais le même soucis pour remplir l'agenda pour le médecin du sommeil.Les rappels sur mon téléphone ne servent qu'à me rappeler cette obligation et génère toujours de l'anxiété.D'autres ont eu ce problème?
bonjour,
Les douleurs sont elles la cause de votre insomnie, ou votre insomnie existe-elle même sans les douleurs, ou existait-elle avant vos douleurs ?
Je suis beaucoup plus agé (70ans). J'ai un peu le même problème. Pas des douleurs, mais une paresthésie très perturbante dans un pied qui vient d'un problème de tendon qui touche ou comprime sans doute un nerf (vu à l'IRM).
bien cordialement
sleepyman
Bonjour à tous,
Je me suis inscrit au programme il y a un peu plus d'une semaine. Cela fait un peu plus de 15 jours que je fais des insomnies, quoique j'ai connu quelques nuits difficiles dès le mois de juillet. Mais à l'époque, elles étaient facilement imputables à un mauvais rythme de vie (coucher de plus en plus tardif : 2h, 3h, 4h, 5h... ah ben pas de chance, à cette heure-ci les oiseaux chantent, impossible de dormir. Et des réveils tout aussi tardifs, parfois jusqu'à 14h). Mais bon, c'était les vacances (je bosse dans un établissement scolaire). Bref, première nuit blanche en juillet. Mais le lendemain, une longue nuit avec un réveil à 14h et c'est réglé. Du coup, le lendemain, insouciant, je me couche de nouveau trop tard, nouvelle nuit blanche. Il m'a fallu quelques jours pour m'en remettre, toutefois, craignant les conséquences si je continuais à faire n'importe quoi, j'ai mis en place un rythme plus régulier : 23h au lit, 0h bannissement des écrans, 1h extinction des feux, 9h lever. Plus de café ni d'alcool le soir. Plus de café du tout, d'ailleurs. Un rythme qui a pas mal marché pendant un temps. Puis, il a commencé à faire chaud et les difficultés sont réapparues. 4 mauvaises nuits début août, dont une nuit quasi-blanche. Bon, certes, il faisait chaud, mais quand même, je m'inquiète et prends rendez-vous chez le généraliste, mais j'en ai pour une semaine d'attente. Heureusement, le sommeil revient les nuits suivantes. Je vais chez le généraliste malgré tout, on ne sait jamais. Mais j'ai juste droit à un médicament qui, je me dis alors, ne me servira à rien. En plus, en lisant la notice, ça fait un peu peur (c'est un anxiolytique de la famille des benzodiazépines, avant j'avais entendu le nom mais je ne connaissais pas)... Chez le médecin, je ne m'étais pas posé de question, lui faisant confiance. Mais personnellement, maintenant que j'en sais plus sur cette famille de médicaments, je suis quand même étonné qu'on m'ait prescrit ça pour trois mois, en l'espace de cinq minutes, sans me parler des effets secondaires, de sevrage ou de rebond, et sans planification de sevrage.
Et puis arrive la mi-août, et c'est la descente aux enfers. Un évènement me fait bien déprimer pendant quelques jours. Puis, mon cerveau, qui fonctionnait alors au ralenti, semble soudain se réactiver. Je fais une nuit blanche. Hors de question, par contre, de toucher à ce médicament. De toute façon, la nuit suivante, je dors de nouveau. Une semaine passe. Reprise du boulot. Je suis surexcité. Donc, je me couche tard, agité, il fait chaud, et il y a un moustique dans ma chambre. Nuit blanche. Le lendemain, impossible encore une fois de trouver le sommeil, malgré de meilleures conditions. Et là, je cède, je prends un comprimé. Effectivement ça me fait dormir assez vite... Peu de souvenir après la prise du comprimé si ce n'est que le lendemain, je me réveille vers 10h. Le réveil a sonné à 9h mais je ne l'ai pas entendu. J'ai l'impression d'être saoul, et d'avoir fait un pacte avec le diable. La nuit suivante, ne voulant pas passer de nouvelle nuit blanche, je reprends un comprimé avant de dormir. Et effectivement je dors bien la plage horaire souhaitée, mais je ne me sens pas très bien. Du coup je décide d'arrêter ces comprimés. Mais les trois nuits suivantes, ce n'est pas terrible. D'abord un nuit blanche. Puis, je décide d'essayer des gélules contenant de la mélatonine, peut-être que ça va marcher, au pire ça ne pourra pas être aussi nocif que l'anxiolytique. Deux nuits où je m'endors vers 3-4h alors que je me réveille à 7h.
Constatant ma fatigue, mon entourage me suggère de prendre ce médicament, arguant qu'on ne me l'a sûrement pas prescris pour rien. Je décide alors de prendre un demi comprimé, un comprimé entier étant trop fort. La première fois, ça marche bien, je passe une nuit correcte, pas trop d'effet secondaire au réveil. Mais au bout de quelques jours, il est clair que je ne fais que des nuits de 3-4 heures. Et les effets secondaires sont terribles, je suis encore plus anxieux que d'habitude (déjà que c'est l'horreur en temps normal...). Entretemps, je me suis inscris sur Therasomnia et me dit que pour que ce soit vraiment efficace, il faudrait que je fasse sans médicament. Sans compter que j'ai très peur des effets de tolérance et de dépendance. Donc j'arrête d'en prendre. Une nuit blanche, suivie de trois nuits où je m'endors vers 1h, environ 3-4 réveils nocturnes (mais courts, je me rendors vite), et un réveil définitif vers 6h. Les journées qui suivent sont cela dit toujours mieux que celles qui venaient après la prise d'anxiolytique...
Et suite à cet arrêt, je me suis rendu compte qu'à présent, c'est un peu comme si mon cerveau refusait le sommeil. Quand je le prenais, et lorsqu'il cessait de faire effet, je ressentais soudain un grand inconfort et me retrouvais réveillé, le cœur battant trop vite et la respiration rapide. Si j'essayais de me rendormir, cela recommençait après chaque endormissement. Depuis l'arrêt du médicament, mes réveils semblent plus naturels, mais impossible de me rendormir après 6h. Et difficile de s'endormir en début de nuit. Je sens le sommeil arriver. Mais dès que je perçois un signe évident d'endormissement (pensée brouillée, hallucination hypnagogique, début de rêve...), il semble que j'aie une décharge d'adrénaline et je me retrouve pleinement éveillé. Je ne sais pas comment j'ai fait pour m'endormir ces trois dernière nuits dans de telles conditions, il se trouve que je n'ai aucun souvenir de ces endormissements, donc peut-être que la partie du cerveau responsable de ça était déjà trop éteinte au moment des endormissements pour pouvoir réagir. La nuit dernière, j'ai bien senti l'angoisse revenir petit à petit suite au réveil définitif, sous forme d'une pression thoracique. En fin de compte, je me suis rendu compte que ça ne concerne pas spécifiquement l'endormissement. J'ai le même phénomène qui se produit la journée si mon esprit s'échappe, cesse de penser à l'insomnie. Finalement, il y a une partie de moi qui, dès que je cesse de penser à l'insomnie, s'active et lance une alerte. Sauf quand je ne suis pas seul et que je suis obligé de penser à autre chose, quoique même là, l'insomnie reste dans un coin de ma tête. Bref, je suis l'insomnie. Je n'ai plus le droit de l'oublier.
Autant dire que ça ne va pas très fort ce soir. Il y a à peine quelques semaines, jamais je n'aurais imaginé me retrouver là-dedans. Mais là, en seulement 15 jours, j'ai développé une insomnie sévère. Mon cerveau ne me laisse même pas d'échappatoire, puisque si je pense à autre chose, j'ai droit à un rappel à l'ordre. Comme s'il voulait me punir pour avoir fait n'importe quoi avant. C'est vrai que j'ai quand même joué avec le feu. Cela faisait des années qu'on me disait que mon rythme de sommeil n'était pas sain, avec des couchers tardifs même en semaine, une récupération le week-end, et des horaires complètement décalés et irréguliers pendant les vacances. On m'avait dit que les somnifères n'étaient pas une solution, qu'ils ne faisaient qu'empirer les choses, j'en ai quand même pris et effectivement, depuis, c'est pire. Au final, ils ont surtout rajouté un délai qui m'a permis de bien angoisser et de complètement rentrer dans un cercle vicieux.
J'espère que le programme m'aidera à sortir de ce mauvais pas. À présent, je dois attaquer la RTPL, ça m'angoisse un peu, vu que j'ai de gros problèmes d'endormissement. Déjà que là je ne dors pas assez, mais au moins, si je "rate un train", j'ai encore du temps pour le suivant. Mais si je dois restreindre le temps au lit... Et puis, comment s'endormir alors que le moindre signe d'endormissement me réveille ? À vrai dire, je ne sais même pas si c'est l'angoisse ou un effet secondaire de l'anxiolytique qui fait ça, ou bien un peu des deux. Rétrospectivement, il m'était déjà arrivé, bien avant tout ça, de commencer à m'endormir, puis d'être soudain parfaitement éveillé, mais je n'y prêtais pas plus attention et c'était plutôt rare. Donc quelque part, ce phénomène n'est pas non plus totalement nouveau. Mais depuis une semaine, il est devenu systématique. Il faut dire que je suis bien plus sensible à n'importe quel stimulus depuis que mes problèmes d'insomnie ont démarré, et la peur de ne pas dormir n'arrange évidemment rien.
Voilà, je démarre donc un peu désespéré. Une déprime en août qui s'est transformée en insomnie. Comme si à force de faire n'importe quoi et de prendre des mauvaises décisions (car oui, j'estime que la déprime en question, j'aurais pu l'éviter en faisant d'autre choix, mais c'est un tout autre sujet), j'avais complètement détraqué mon cerveau. Espérons que ce soit réversible. Pour l'instant, j'ai l'impression de devenir fou, d'être progressivement de plus en plus à côté de la plaque. Car étant obligé de penser à l'insomnie h24, je perds à côté l'intérêt pour les activités que j'appréciais avant. Je ne sais pas ce qu'il en sera à l'avenir mais pour l'instant, je ne suis que l'insomnie.
Merci de m'avoir lu. Désolé pour le ton franchement négatif de mon message, mais il correspond à ce que je vis depuis deux semaines. Je vois qu'ici, il y a des insomniaques de longue durée. Franchement, mes respects, car maintenant, je vois à quel point ça peut être dur. L'objectif, c'est que plus tard, mon ton devienne plus positif.
Bonjour je comprends ce que tu ressens comme si le cerveau ne voulait pas débrancher…
ce qui m’aide c’est le raisonnement ,la pensée que ce n’ai pas moi qui choisis de m’endormir mais le sommeil qui me rattrape quand il le souhaite quand mon corps est détendu…
Ne cherche pas à dormir laisse passer tes pensées même négatives ne les rejette pas
voilà moi ça m’aide
vaea
Bonjour à tous
je souffre d’insomnie depuis le mois de mars
Depuis mon 3e trimestre de grossesse j’ai commencé à mal dormir donc mon médecin m’a prescrit du Donormyl que j’ai peu pris enceinte .
ensuite durant l’allaitement je n’ai pris aucun médicament. Mais quand l’allaitement s’est terminé j’ai repris du Donormyl 3 a 4 fois par semaine pdt quasiment 2 ans ( quand je le prenais je dormais bien , quand je ne le prenais pas ma nuit était plus ou moins bonne mais je banalisais les mauvaises nuits en me disant pas grave demain soir je prendrais du Donormyl)
Sauf que l’enfer a début en mars 2024 lorsque mon pharmacien m’a refusé la délivrance du Donormyl
Il m’a fait une longue liste des risques etc et qu’il ne devait être utilisé qu’occasionnellement
Depuis ce jour, j’ai perdu totalement confiance en ma capacité à dormir … j’ai testé le Seresta , le Xanax et le Zopiclone ( sur de courtes périodes pour éviter l’accoutumance et la dépendance ) . Ces médoc ne me font pas forcément passer de bonnes nuits récupératrices et le lendemain je me sens souvent vaseuse
J’ai donc tout arrêté et j’ai commencé une cure de Millepertuis ( je ne peux vraiment rien prendre d’autres car il interagit avec quasi tout …)
Y en a t il parmi vous qui ont essayé cette plante ?
Je commence à être à bout la fatigue est intense mais je n’ai pas aucune somnolence je n’arrive pas à faire de sieste et malgré une fatigue énorme le soir j’ai bcp de difficultés à dormir …
je ne vois pas le bout du tunnel et je commence à désespérer
je suis de nature anxieuse mais la dette de sommeil a accentué mon anxiété +++
Je n’ai jamais été une marmotte et j’ai toujours eu le Sommeil léger et 6 ou 7h de sommeil me suffisait
La en ce moment j’enchaîne les nuits de 3 ou 4h voire des nuits blanches
La fatigue se voit clairement sur mon physique j’ai des énormes cernes et je suis au ralenti ( moi qui suis d’un naturel speed d’habitude …)
j’espère que cette période sera bientôt un mauvais souvenir
Bonjour Claire
merci pour ton message
avec plaisir pour échanger avec toi
Jai également 2 enfants de 5 ans et 2 ans et demi .
Tes insomnies ont commencé à cause de quoi ?
le millepertuis tu le prends tous les jours ?
Sois prudente car il retire les effets de plein de médicaments …
tu as appliqué le contrôle du stimulus et la RTPL ?
Bonjour à tous,
Comme vous avez pu le lire dans le titre, je commence la RTPL ce soir. J'ai 30 ans, et je ne pensais pas que l'insomnie pourrait me concerner un jour. Je dormais 8h par nuit, et je m'endormais un peu partout.
Mais il y a eu 1 mois et demi j'ai eu une très grosse anxiété liée à divers examens médicaux, et à chaque veille d'examen, je faisais nuit blanche. C'est comme ça que ça a commencé.
Mon anxiété s'est calmée il y a deux semaines, je pensais que l'insomnie s'arrêterait avec, mais pas du tout. Depuis 3 semaines, je dors une nuit sur deux. Des nuits blanches suivies de nuits de 9h. Le pire c'est que je ne ressentais même pas la fatigue au début !
Après une semaine d'agenda du sommeil, je commence donc la RTPL, avec coucher à 00:30 et lever à 6:15. J'avais déjà commencé la RTPL hier, même si je pensais avoir des horaires légérement différents. Autant je n'ai pas trop de difficulté à me lever à 6:15 (je ne me sens même pas si fatiguée que ça... Comme si le sommeil avait quitté mon corps), autant le soir, c'est une autre affaire... Comme je ressens de la somnolence vers 22/23h, je ne peux pas m'empêcher d'aller au lit vers 23h30. D'autant plus que j'ai l'impression qu'attendre 1h de plus ne va faire qu'augmenter mon stress... Mais bon. Surtout que bien que n'ayant dormi que 5h45 la nuit précédente, impossible de m'endormir avant 3h00 du matin malgré une forte somnolence.
Au moins depuis avant-hier je ressens de la somnolence le soir et le midi après-midi, c'est déjà ça, pendant un moment je croyais que mon corps s'était habitué à ne pas dormir et cela me rend plus anxieuse, j'avoue.
J'espère que le programme marchera pour régler mes problèmes d'endormissement. J'ai évité tout médicament depuis que j'ai vu que l'Atarax n'avait aucun effet sur moi. Le médecin m'a donné du Zopiclone 3,75, je n'y ai pas touché même si j'hésite pour enrayer la boucle infernale d'une nuit sur deux... Qu'en pensez-vous ?
Merci de m'avoir lu et si vous souhaitez échanger, n'hésitez pas ! (même s'il faut que je me sèvre de la lecture de forums/sites sur le sommeil qui alimentent mon obsession du sommeil....)
Bon, eh bien la RTPL n'a pas super bien commencé. J'ai pleuré au moins 5 fois hier parce que j'étais très angoissée et que j'avais une grosse présentation aujourd'hui, donc ma famille m'a demandé de prendre un somnifère histoire que je dorme au moins une ou deux bonne nuits. J'ai donc pris un comprimé de Zopiclone 3,75 à 23h00, je me suis endormie quasi immédiatement pour me réveiller à 6h30.
J'ai décidé de prendre la moitié du comprimé ce soir pour éviter 'l'effet rebond' et pour au moins enchaîner une deuxième bonne nuit, puis arrêter et reprendre correctement la RTPL (au moins, j'ai un week-end de 3 jours pour m'en remettre).
Ce qui m'inquiète c'est que j'ai l'impression que mon corps a de moins en moins besoin de sommeil (cela dit dormir 7h30 c'est pas si mal, mais c'est vrai que vu tout le sommeil qu'il lui manque je ne comprends pas qu'il ne rattrape pas).
Je vais essayer d'éviter de me concentrer trop sur mon sommeil vu que c'est la raison de mon insomnie d'endormissement, mais bon, plus difficile à dire qu'à faire ! J'en ai assez de me sentir anxieuse honnêtement !
Bonjour à tous,
J'ai commencé le programme en novembre dernier suite à des insomnies chroniques qui ont commencé il y a plus de 2 ans (problème d'endormissement + nombreux réveils nocturnes).
Mon rythme de sommeil (avant le programme) était un coucher vers 23h et un lever vers 8h.
J'en suis à la fin de la 2 semaine semaine de RTPL avec une durée imposée de 6h15 de sommeil. Cette 2eme semaine est difficile (beaucoup plus que la première).
J'ai défini la fenetre avec un coucher à 00h00 et un lever à 6h15.
Je ne suis habituellement pas du tout du matin et ai hésité longtemps avec un lever fixe à 8h plutôt que 6h15. Mais l'idée de me coucher vers 1h45 ne me plaisait pas et j'ai préféré définir un temps libre le matin (sport, etc).
J'en viens à ma question : j'ai bien compris qu'il fallait garder mon lever à 6h15 de façon stricte puisque j'ai commencé la RTPL avec cette condition et qu'on ne touche progressivement qu'à l'heure du coucher, cependant, en projection, à la fin de la RTPL (lorsque j'aurai retrouvé confiance en mon sommeil), puis-je redéfinir l'heure du lever plus tard (entre 7 et 8h) sans gros impact sur la resynchronisation en cours et les acquis ? Si gros impact il y a, ne devrais je pas redéfinir dès maintenant cette heure du lever (par exemple 1h15 - 7h30) ?
Merci beaucoup pour vos retours, et courage à tous ceux qui se sont lancés dans ce programme !
Bonjour, pour ma part, déjà la 1ère semaine de RTPL se passe très mal, je ne dors plus. Je ne vois...
Bonjour,
pour ma part, déjà la 1ère semaine de RTPL se passe très mal, je ne dors plus. Je ne vois pas comment tenir dans le temps avec des réveils aux aurores. Peut être que la coach qui vous suit pourra vous donner une réponse sur la possibilité de redéfinir votre horaire de réveil ?
Bonne journée et bon courage à tous dans cette quête de sommeil.
Bonjour,
J'ai commencé cette nuit le programme et le résultat a été ... affreux. Déjà, la journée précédente a été dure car j'appréhendais de ne pas tenir nerveusement. C'était dur... alors que je n'avais pas encore commencé !
Ensuite, je me suis endormie facilement à minuit mais je me suis réveillée à 2h (mon pb habituel, c'est le ou les réveils nocturnes. Bizarrement, l'endormissement en début de nuit ne me pose pas de soucis). Je suis sortie de mon lit, j'ai fait 30 minutes de médit' mais ensuite ... oulala... grosse panique ! A l'idée de ne pas réussir, de sombrer dans la dépression (mes insomnies actuelles sont probablement liées à une dépression que j'ai faite en 2010). Grosse déprime à l'idée des semaines à venir... qui me faisaient me sentir plus angoissée encore ! J'étais pas loin de la crise d'angoisse !
J'ai fini par me calmer. J'ai décidé de rester dans mon lit même sans dormir et j'ai du m'endormir vers 4h.
Ce matin, ça va pas si mal. Mais si quelqu'un qui a vécu une expérience similaire en début de programme pouvait me rassurer... ça me ferait bcp de bien !
Bonne journée à tous !
Bonjour, J'en suis à la même étape que vous mais pour être honnête pour le moment je n'ai pas le...
Bonjour,
J'en suis à la même étape que vous mais pour être honnête pour le moment je n'ai pas le courage ni la force de commencer. J'ai lu votre message car rien qu'à la lecture du programme j'ai ressenti un énorme stress. Comment allez vous aujourd'hui ?
Bonjour Pascalou, je suis exactement dans le même cas que vous, je suis au 5ème jour et j'avoue que...
Bonjour Pascalou,
je suis exactement dans le même cas que vous, je suis au 5ème jour et j'avoue que c'est très difficile, car avant je m'endormais très bien (<15mn), par contre je me réveillais 1H15 après et j'attendais... ,des fois pour rien. Au stade où je suis, j'attends parfois jusqu'à 1H30 pour me rendormir. Mais malgré la fatigue, je reste confiant. Nous devons essayer pour espérer un résultat. bon courage.